On Return To ‘The Hunger Games’

Il est difficile de savoir où se situent les gens Les jeux de la faim ces jours. Évidemment, il y a dix ans, ces livres et ces films faisaient sensation. C’est donc intéressant, sorti de nulle part, voici un prequel autonome. Ce n’est pas le début d’une nouvelle trilogie (mais, pour être honnête, ce n’est probablement pas hors de question) qui fait office de film à part entière, que vous ayez vu les autres films ou non. Et honnêtement, c’est vraiment bien.

Parler au réalisateur Francis Lawrence, qui a réalisé tous les films sauf un Jeux de la faim film, il semble toujours hanté par la décision de se séparer geai moqueur en deux films. Ce qui était une option pour The Hunger Games : La ballade des oiseaux chanteurs et des serpents, mais Lawrence a clairement indiqué qu’il voulait faire ce film complet. Certes, c’est un long film, mais le plus gros problème est que vous quitterez le cinéma satisfait d’avoir vu une histoire complète, ce qui semble particulièrement rare de nos jours lorsqu’on parle de franchises.

The Hunger Games : La ballade des oiseaux chanteurs et des serpents se déroule environ 60 ans avant les événements de Les jeux de la faim. Nous rencontrons le jeune Coriolanus Snow (Tom Blyth) qui n’est certes pas encore méchant mais sait qu’il devra peut-être parfois faire des compromis pour survivre. Contrairement à ses pairs, il vient de rien et il sait qu’à tout moment il peut revenir à rien. Les Hunger Games eux-mêmes en sont à leurs balbutiements, une version à très faible coût par rapport à ce que nous voyons dans les films précédents. C’est lors des événements de ce film qu’il est décidé que chaque participant aura un mentor, le mentor gagnant recevant une fortune. Et le travail du mentor consiste à booster les notes en faisant ressortir la personnalité de chaque participant. Et le jeune Coriolanus est affecté à Lucy Gray Baird (Rachel Zegler) du district 12, dont la voix chantée fait instantanément d’elle une star. Coriolanus développe une affection pour Lucy Gray, mais comme le souligne souvent Peter Dinklage dans le rôle de Casca Highbottom (qui déteste Coriolanus), fait-il tout cela pour elle ou pour la fortune et la gloire ? Ce qui rend le film intéressant, c’est que même en tant que spectateur, c’est difficile à dire.

Ahead, Francis Lawrence nous explique pourquoi il voulait revenir à Les jeux de la faim.

Vous avez dit récemment que vous regrettiez de vous séparer geai moqueur en deux parties. Était-ce réellement votre décision ?

Non, honnêtement, cette décision avait été prise avant que je m’engage pour faire la suite. Cela a donc été fait avant même que je commence. Je suis venu faire Prendre feu. Ils avaient ce genre de plan fou. Je veux dire, c’était bien, mais un plan fou de Prendre feu devait sortir en novembre 2013, geai moqueur un en novembre 2014, et geai moqueur deux en novembre 2015. Ils avaient donc déjà en quelque sorte ce plan en place. Mais je pensais que je faisais seulement Prendre feu. J’ai pensé, alors que je termine Prendre feu, ils vont faire venir un nouveau réalisateur qui fera celui de Mockingjay. Donc, en gros, ils m’ont embauché et m’ont demandé de participer aux suites pendant que nous étions encore en train de préparer. Prendre feu. Cette décision avait donc déjà été prise avant même que je sois amené à faire les suites, mais je la regrette toujours. Ce n’était pas ma décision de le faire, mais je le regrette simplement parce que nous avons eu tellement de merde pour cela.

Maintenant tu regardes Tueurs de la Lune des Fleursvous n’aviez pas réalisé que vous pouviez simplement sortir un film de trois heures et demie en salles et que tout irait bien.

Ouais, eh bien, je veux dire, écoute, ce est le livre le plus long de la série. Et je me suis dit : « Eh bien, je ne divise pas celui-ci en deux. »

Oh, les gens n’auraient pas été contents de ça.

Non, je me disais simplement que je préférerais faire un film de 2 heures et 45 minutes et que ce soit une pièce pleinement satisfaisante.

Et ce que vous ne saviez probablement même pas au moment où vous avez pris cette décision, c’était cette année Mission impossible j’allais faire une première partie. Dans le Spider-Verse va faire une première partie. Si c’était une partie à part entière, les gens n’auraient pas aimé ça.

Même si je connais la façon dont le monde fonctionne. Et la vérité est que, et je ne lis pas de critiques ou quoi que ce soit, mais je vous garantis que les gens disent : « Oh, ils auraient dû le partager. »

Personne ne dit ça. Je promets.

Ouais? Eh bien, c’est bon à savoir. Je veux dire, ce que je dirai cependant, avec le geai moqueurC’est en partie pourquoi tout le monde était d’accord, et surtout je pense que la raison pour laquelle Suzanne était d’accord et elle est très structuraliste, c’est qu’elle sentait vraiment qu’il y avait ce genre de deux questions dramatiques distinctes dans la première partie, du genre : allons-nous avoir Peter ? dos?

J’ai lu l’interview que nous avons faite alors. Et vous disiez même que si vous faisiez un film, celui de Peta devait être de retour à la fin du premier acte, et comment faire tout ce segment aussi rapidement ?

Exactement. Exactement. Cela aurait donc été beaucoup plus compressé. Je pense que cela aurait probablement été un film aussi long que celui-ci, mais même quand même, il serait compressé parce qu’en ce moment vous avez environ quatre heures de film. geai moqueur.

Je me suis donc lancé dans celui-ci sans rien savoir. La seule chose que je savais, c’est que c’était un préquel. Je ne savais rien. Cela fonctionne vraiment avec peu de préparation. J’ai fait le mème de DiCaprio : “Oh, c’est le futur président Snow !”

Non, totalement. Totalement. C’est tout. Je veux dire, c’était ce qui m’attirait le plus : pouvoir raconter la descente de ce genre de jeune homme dans les ténèbres, et particulièrement dans le Jeux de la faim monde. Et je savais que Suzanne trouverait d’excellents thèmes sur lesquels parler et sur lesquels baser l’histoire. Et je pense que j’ai vraiment apprécié cela où vous comprenez en quelque sorte la signification de l’arbre suspendu et la signification de certains comportements et la signification de certains personnages et dynamiques relationnelles et les origines des jeux eux-mêmes et comment ils ont commencé de manière si rudimentaire.

Oui, j’allais dire « loyer bas », ce qui est fascinant. Ils se déroulent essentiellement au Madison Square Garden.

Exactement. Non, et je veux dire, cela faisait partie du plaisir, c’est que dans les premiers jeux, c’était comme s’ils jetaient littéralement un tas d’armes au milieu d’une arène murée. Et vous fermiez les portes et le la cloche sonne et ce sera probablement fini dans une heure et demie. Et c’est l’occasion où vous voyez, oh, les choses commencent à changer. Ils créent des histoires pour les hommages. Et grâce aux explosions, le paysage s’ouvre et les gens peuvent se rendre dans différents endroits. Et le Capitole commence réellement à intervenir dans les jeux et vous voyez le début de toutes ces choses. Et même avec certains drones qui ne fonctionnent pas très bien.

Qui est genial. «Oh, voici l’eau»,… smash.

Oui exactement.

Et dans ce film, les Hunger Games sont le deuxième acte du film et le troisième acte devient vraiment intéressant lorsque nous passons du temps dans le District 12.

Aussi, quelque chose que j’ai vraiment, vraiment aimé, c’est que je pense qu’il y a en quelque sorte une nature épique dans l’histoire. En partie parce que je pense que le public et les gens habitués à ces livres dans les films ont en quelque sorte l’impression que, oh, lorsque les jeux sont terminés, l’histoire est terminée. Et les jeux ne sont qu’une partie de l’histoire, d’une histoire bien plus vaste. Et c’est quelque chose que j’ai aussi beaucoup apprécié et qui m’a également surpris lorsque j’ai lu le livre.

Il y a des bars dans le district 12 avec de la musique live. Lorsque les gens ne font pas la queue pour savoir s’ils seront tués ou non, nous constatons qu’ils ont une vie sociale.

Nous voyons un un petit peu de certains aspects du District 12 dans les autres films. Je veux dire, ils auront évidemment Victor’s Village à ce moment-là. Je pense qu’il y a quelques moments dans The Hob, qui ont été tournés dans un endroit différent. Mais oui, nous devons en voir davantage. Nous avons pu voir davantage la campagne. Nous avons pu voir davantage de ce véritable côté industriel de l’exploitation minière du charbon et tout ça, ainsi que le spectacle live de Covey et Rachel.

Alors, comment ça marche? Lionsgate vient-il à vous ?

En fait, ça vient de Suzanne. Donc en 2015, on pensait vraiment que c’était fait.

Il y avait toujours des rumeurs de spin-offs et des trucs comme ça.

Ouais, je veux dire, Lionsgate parlait de trucs comme ça pendant un moment, mais ça devait toujours venir de Suzanne. Et elle avait fini. Elle m’a dit : « Je travaille sur ces livres et ces films depuis 10 ans. Je dois aller faire autre chose. Et nous voulions aussi faire d’autres choses.

Ce qui a beaucoup de sens.

Totalement. Et puis c’était fin 2019, et elle m’a appelé, moi et Nina Jacobson, et nous a dit : « Surprise, mais j’ai presque fini avec un nouveau livre. » Elle ne nous a pas raconté l’histoire. Elle nous a donné quelques indices – que c’est une préquelle, que c’est 64 ans avant, qu’il y a un élément musical – mais à part ça, je veux que vous attendiez et lisiez le manuscrit. C’est comme, d’accord. Nous sommes donc évidemment excités et il y avait beaucoup d’anticipation. Et c’est à ce moment-là que je suis allé rencontrer les gens de Lionsgate, et tout ce régime avait fondamentalement changé. Donc je ne connaissais vraiment personne là-bas. Donc un tout nouveau groupe de personnes. Et puis, lorsque nous avons lu le manuscrit avant la pandémie juste au début de 2020, nous en sommes tombés amoureux et nous nous sommes dit : très bien, commençons à comprendre cela et commençons à l’adapter. Et c’est principalement ce que je faisais pendant la pandémie : au téléphone avec Nina, Suzanne et nos scénaristes.

Mais je suis curieux, avez-vous hésité ? Parce que je me souviens distinctement je te parle pour ce dernier film. Comme nous en avons parlé, la division a suscité des réactions négatives. Vous faisiez également face à la mort d’un acteur bien-aimé et je sais à quel point cela a été difficile.

Ce que je dirai, c’est que j’adore les histoires qu’elle écrit. Et encore une fois, je pense que Nina et moi, même à la fin, nous sommes toujours sentis plutôt chanceux, de manière presque subversive, d’avoir pu nous faufiler dans ce genre d’histoires thématiques d’une manière commerciale où le public… grand beaucoup de gens veulent aller les voir et les ont vraiment appréciés. Et il y a cet incroyable fandom, et on a l’impression de faire partie de quelque chose qui est vraiment important pour la vie d’une génération. C’est une chose vraiment incroyable.

De plus, le groupe de personnes comme Suzanne, moi, Nina — l’équipe que nous avons constituée aime vraiment faire ces choses ensemble, vraiment apprécier de travailler ensemble. Et donc je savais et Nina savait que si nous pouvions déchiffrer le scénario, ce serait deux années vraiment incroyables à travailler ensemble pour faire quelque chose qui nous tient vraiment à cœur dans un monde qui nous tient à cœur et pour les fans qui nous tiennent à cœur. Et je pense qu’en fin de compte, c’est plus important. Mais tu as raison, geai moqueur deux a été difficile parce que nous ressentons encore le coup. Même si je pense que nous l’avons ressenti davantage geai moqueur un sur la séparation des livres. Nous étions encore sous le choc de la perte de Phil, dont on ne peut jamais se remettre. Même si c’était encore au milieu du tournage, il n’avait pas fini. Mais on ne remet jamais vraiment le vent dans les voiles quand quelque chose d’aussi horrible se produit. Mais, en général, l’expérience de travailler avec ces personnes et de s’impliquer dans ce monde reste vraiment enrichissante.

Vous avez mentionné avoir travaillé sur ce problème pendant la pandémie. Je suis sûr que vous avez réalisé que ces films ont frappé plus fort à ce moment-là que sous la présidence Obama.

Oui. Et je pense que c’est honnêtement pour cela que Suzanne a été inspirée. Droite?

Ça a du sens.

Fondamentalement, vous pouvez rappeler le moment où nous avons terminé en 2015. Puis 2016 arrive et elle a commencé à voir ce genre de polarisation, non seulement aux États-Unis, mais aussi dans le monde en termes de perception les uns des autres en tant qu’êtres humains. Elle a donc décidé d’écrire une histoire sur ce genre de débat sur l’état de nature – cette idée : sommes-nous par nature cruels, brutaux et sauvages, ou sommes-nous par nature bons et méritant des droits et des libertés ? Et voir ce genre de division massive et vouloir écrire une histoire à ce sujet, c’est pourquoi je pense que cela semble vraiment pertinent en ce moment.

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