“Pleurer, ça donne a great sentiment of liberation”, said tennis star Novak Djokovic, who admits to living even the most difficult moments

Il est le joueur de tennis le más dominante de la dernière décennie, peut-être même de l’histoire, mais le Serbe Novak Djokovic ne veut pas être considéré com un surhomme que rien n’affecte. “It is important to understand that we are all human beings, that we are mischievous at difficult moments, with challenges and obstacles”, declared the world number 1, on the margins of the Rome Masters.

L’homme aux 22 titres majeurs a aussi déclaré, lors de la traditionnelle journée des médias, qu’il était liberateur pour lui de pleurer.

«On se dit que l’on doit être fort, toujours à notre meilleur. Et comme homme, lorsque l’on traverse des momentos difficiles, on sera peut-être jugé or critique pour notre façon de liberer nos émotions, parce qu’on ne peut pas être faible», s’est longuement confié «Djoko», no les propos ont été repris par the official site of the tournoi.

«[Pleurer], ça peut être considéré comme un signe de faiblesse, at-il poursuivi. Mais je crois que c’est plutôt le contraire. […] C’est correct de ne pas être correct, aussi.»

The bitch le 1^Ahem rang

Djokovic fera sa rentrée à Rome, où il est le champion en titre, vendredi face à l’Argentin Tomas Martin Etcheverry, 61^my world racket.

Par ailleurs, le Serbe est déjà presque assuré de perdre son première rang mondial, peu importat le résultat de cette rencontre.

Absent in Madrid in raison d’une blessure, battu dès son first match à Monte-Carlo et son second à Banja Luka, the Serbe verra à nouveau the Spanish sensation Carlos Alcaraz dépasser au classement.

Alcaraz, 20 years old, is couronné in Barcelona and Madrid. Il n’a qu’à disputador son premier match à Roma, previous same against compatriot son Albert Ramos-Vinola (72^my), pour s’assurer de renouer avec le premier rank mondial.

A position qu’il to déjà occupée durante 20 semaines à la fin de la dernière année et au début de la présente.